6P Designs.Adapted by Rozam

   
 
  Art...
 



De l’art…et non pas du cochon, pour une fois.

Juste un instantané, quelques mots jetés deci-delà  sur des convictions totalement subjectives.

Je n’ai jamais beaucoup aimé les disclaimer ni les sous-genres, et…non, soyons honnête, je ne les ai jamais aimé du tout. Parler de « droits d’auteur » dans cette discipline particulière qu’est la fanfiction est pour moi légèrement – allez, je suis chez moi cré nom, allons-y franchement – vulgaire.

Comme un homme superbe à qui je parlerai d’amour et qui, en retour, me parlerait d’argent…Et oui, je masculinise tout décidément, jusqu’au mot fiction ! Mais pour moi c’est ça, écrire ; une discipline affranchie de toutes lois de rendement ou d’appartenance à la matière, dès l’instant où je m’affirme « amateur ».

Oui, j’écris sur Lady Oscar, c’est vrai, un personnage fictif qui n’est pas de mon cru mais celui de notre bien-aimée et vénérée Ikeda ! J’adorerai ériger un autel à sa gloire dans ma cabane à outils et venir y brûler plein d’encens pour mettre la cendre sur ma tête ensuite ; ou choisir sa forme plus casuelle qui est de plaquer des ratings partout, comme on barderait une volaille pour la rendre plus tendre et digeste.
Et puis…non. Pas envie.

Car ma très chère Ikeda n’est pas un écrivain, son terrain d’action n’a pas été les mots (oui? non ? si ? flûte !) Ikeda c’est un trait, une dessinatrice extraordinaire sans aucun doute, et si un jour je me lance dans la copie de son style je jure solennellement aller en pèlerinage pour la rencontrer en personne, et lui demander le droit de le faire.

En attendant, mes p'tits chats, il faudra supporter ma prétention incroyable à affirmer que les divers travaux manuels présentés ici n’ont besoin d’aucune allégeance si ce n'est à ma bêtise naturelle !

Et le droit moral me direz-vous ? « Après tout, tu ne peux faire tout ça que grâce à SON André et SON Oscar, faut savoir être reconnaissante de temps en temps, hein, gamine ! »

Et bé non, pas plus. Ou alors si je dois être honnête il va me falloir une liste très, très longue qui commence dès mon premier cri en fait, incluant en vrac :


mes parents, mon éducation, ma culture, la Suisse, mon goût pour l’histoire, ma curiosité, mon amour pour les légumes,  mes amants, mes galères, mes joies, la télévision, Ikeda, les fans,  ma baignoire, ma cuisinière à gaz, mes crayons, les arbres qui font du papier, les inventeurs d’ordinateurs, Bill Gates, les hommes nus, l’amour, mon caractère de cochon, Fersen, la constitution des droits de l’Homme, la liberté de parole, la touche « espace » de mon ordi, l’électricité, Gutenberg, la machine à café, Excess, le site d’Emeralda, mon goût pour le sexe, la lettre Z, ma dévotion à la littérature, la rillette ;

 

et puis Minna, Mira, Elelya, Anon, Dddamuur, Korr, Hermès, Yaël, Vadim, Emeralda, Myminette, Chanlyr, Aérine, le Lecteur Inconnu, Linda, Eric, Vincent, Hermine, Gilrayn, Alessandra, Nemesis, François, Paul et les autres…

et puis Umberto Ecco, Victor Hugo, Machiavel, Dante, Céline, Dostoïevski, Molière, Rimbaud, Cauvin, Freud, Manara, Zweig, Astérix, Nietzsche, Rilke, Delacroix, Rembrandt, Pif gadget, Dali, Wolinski, Pollock, Soutine,  Fluide Glacial, Rachmaninov, Audiard…

et puis…

et puis…

C’est à eux et à tous ceux que j’oublie que tout appartient, alors ! Rien n’est à moi ici sauf mon imagination, mes fautes d’orthographes involontaires ou non, et une certaine idée du bon goût qui ne veut pas en avoir, justement.

Bref, le cri de la courgette c’est ça : se battre contre des moulins à vent, revendiquer d’un sourire crâne m’amuser comme une folle ici sans aucun souci d’exploitation financière ; j’adorerai mais c’est juste pas possible. Et défendre une certaine idée de lecture et d’écrire des fanfics, ouais madâme, même si tout le monde s’en fout. J’veux courir pieds nus, partout !

Ne pas établir de priorité, ne pas savoir qui a droit à quoi, ne pas vous dire à quelle sauce une histoire vous mangera.

Simplement vous montrer, vous faire lire, même pas rester au dessus de votre épaule en censurant vos déceptions, vos réactions, tout est à vous je vous dis. Alors, courez partout, vous aussi…


Et puis de l'art, ou du cochon? Le deux bien sûr! Car le mot "art" me fait sourire, c'n'est pas une jolie fille qu'on doit respecter, faut bien que j'la bouscule de temps en temps de mes biceps de poulet;  et puis le "cochon" me fait rire, car mine de rien il se raffine et s'affine de tout son gras quand on lui cause gentiment...

Bref, ici y'a d'la joie...

 

BISES!

 

 
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